Les conditions pour devenir auto-entrepreneur

L’auto-entrepreneuriat est un régime spécifique pour les entreprises individuelles. C’est une forme juridique même si leur statut peut leur permettre de bénéficier d’un régime fiscal et social spécifique. Les conditions pour devenir auto-entrepreneur sont simples, mais il faut respecter les obligations de démarches pour lancer un projet. Accessible à tout le monde, le domaine attire bon nombre de gens, mais les nombreux risques et obstacles inhérents peuvent décourager la majorité. Il faut faire une déclaration datée et signée en micro entreprise et il est nécessaire de faire une attestation de non-condamnation munie d’un justificatif de domicile. D’autres paperasses viennent compléter la liste, mais il faut avant tout de la persévérance et beaucoup de volonté.

Quels sont les avantages et inconvénients d’un auto-entrepreneur ?

Les avantages

La création d’une autoentreprise est simple, car il ne nécessite pas de rédiger un statut et le lancement de vos projets est rapide. Il y a la franchise en base de TVA ce qui lui permet d’avoir un tarif très compétitif, il est seulement obligé d’avoir un livre de compte et des pièces justificatives.

Les inconvénients

Le chiffre d’affaires d’un auto-entrepreneur est limité et il n’a pas la même protection sociale que les salariés en entreprise. Il y a plusieurs situations qui peuvent devenir des obstacles pour un projet de lancement d’une micro entreprise comme l’exercice d’une activité libérale ou artistique qui relève d’un autre régime comme les sages-femmes, les infirmières et bien d’autres. Votre fournisseur peut saisir vos biens personnels en cas de dette non réglée. Vous engagez alors votre patrimoine personnel comme hypothèque. Il est possible de minimiser la responsabilité d’un auto-entrepreneur en choisissant un autre statut et de faire des déclarations d’insaisissabilité.

AzertyJobs

Cette plateforme est particulièrement recommandée pour les demandeurs d’emploi dans le domaine du strat-up. De nombreuses entreprises partagent des offres sur ce site dans l’objectif de dénicher les meilleurs talents. Vous trouverez sur chaque annonce les détails concernant les entreprises qui vous intéressent. Vous aurez aussi des détails concernant les missions sur chaque poste sans oublier le type de contrat (CDD, CDI…). Un formulaire pour postuler est généralement disponible en bas de chaque annonce. L’envoi de votre candidature se fera dans un bref délai.

Indeed

Indeed est un site de recherche d’emploi avec une forte notoriété dans le monde entier. La plateforme renferme toutes les catégories de travail qui vous conviennent. Vous avez même la possibilité de personnaliser vos recherches selon vos envies. Notez que de nombreuses offres de travail sont ajoutées quotidiennement sur la plateforme. Par ailleurs, ce site est très facile à prendre en main. Vous trouverez alors facilement du travail en vous rendant sur Indeed.

Job for Change

Job for Change est une plateforme pour chercher du travail d’une manière plus ou moins spécial. Les offres que vous trouverez sur ce site peuvent avoir un impact sur la société et la planète. Il suffit d’entrer le mot-clé qui vous convient sur la zone de recherche pour lancer votre recherche. Vous pouvez aussi faire des recherches selon la zone géographique ou le type de contrat. Ainsi, vous avez la possibilité de filtrer les annonces en fonction de vos envies.

LinkedIn

LinkedIn est généralement considéré comme étant un réseau social professionnel. Vous y trouverez d’innombrables offres de travail. De plus, il est plus facile d’entrer en contact avec les recruteurs grâce au système de messagerie. Notez que LinkedIn compte plus des millions d’utilisateurs dans le monde entier. Vous y verrez aussi les différentes catégories d’entreprises qui exercent sur le marché. Vous n’êtes pas non plus obligé de passer en compte premium pour trouver les meilleures offres. Assurez-vous seulement de bien travailler votre profil pour mettre les chances de votre côté.

Un parcours académique est nécessaire

Il n’est pas donné à tout le monde de devenir chef cuisinier. C’est un professionnel qui nécessite plus que du savoir-faire. Il doit posséder en plus le doigté et l’art de cuisiner. Evidemment, un diplôme de la spécialité cuisine est nécessaire pour connaître et maîtriser les bases de la profession, et prétendre à exercer dans le domaine. Il existe en effet des règles concernant les techniques de cuisine, de cuisson, de découpe, ainsi que les techniques culinaires classiques et modernes.
D’une manière générale, le diplôme du CAP conduit à la fonction de commis de cuisine. Celui du baccalauréat professionnel (Bac pro) Restauration peut amener à un emploi de second de cuisine ou même de chef de partie. Enfin, les titulaires d’un bac technologique Hôtellerie peuvent continuer par le BTS Hôtellerie option Arts de la Table et du Service pour y accéder.

Un métier de passion et de sacrifice

En plus de la formation académique, une longue expérience pratique, acquise derrière les fourneaux, est requise pour accéder au poste de chef de cuisine. Il faut disposer d’une expérience confirmée, et justifiant d’un passage par différents postes de chef de partie.
Mais le plus important est assurément d’aimer ce métier qui est souvent qualifié de métier passion. C’est un métier destiné à ceux qui aiment créer, décorer et régaler : Le bon chef de cuisine est heureux que ses convives se délectent de ses plats.
Enfin, le métier de chef cuisinier est un métier choisi par ceux-qui le font malgré les énormes contraintes qui pèsent sur leurs épaules, ne serait-ce que le sacrifice des jours de fête. Quand tout le monde fait la fête, le personnel de cuisine a plus de travail.

Les critères de choix d’un métier

Le choix d’un métier à exercer repose sur différents critères, entre autres l’intérêt que vous portez pour le domaine d’activité en question, la passion pour le métier. Pour choisir le bon, il est aussi préférable d’opter pour le métier que vous pensez pouvoir maîtriser. Par conséquent, vous serez plus reconnu et aurez une bonne estime de vous-même.

Les conditions de travail constituent aussi des critères à ne pas négliger lors du choix d’un métier. Certes, un métier peut être bien payé, mais il peut vous faire travailler jour et nuit ou ne correspond pas à votre mode de vie. Tenez aussi compte de votre statut matrimonial, car la vie d’un célibataire n’est pas la même que celle d’une personne ayant une famille à charge. Pour cela, il faut voir les conditions de travail comme l’horaire, le travail de nuit, de week-end ou les jours fériés. Tels sont les cas des agents administratifs, des guides touristiques et des veilleurs de nuit.

Les conditions géographiques sont également un critère important à considérer pour choisir son métier. Voulez-vous un travail en plein air, un travail qui nécessite souvent des déplacements, un travail à distance, etc. Si vous souhaitez travailler de manière indépendante en adaptant le métier à votre vie le freelancing ou entrepreneuriat est conseillé.

L’évolution des métiers

Pour choisir un métier, il faut être flexible, car la société évolue. En effet, avec l’évolution constante de l’environnement technologique et économique, des métiers disparaissent (les métiers relatifs au développement de photos dans les laboratoires) et d’autres apparaissent (comme le community manager). La technologie innovante a apporté un souffle nouveau aux métiers de journalistes, de comptables et de graphistes. La démocratisation d’internet a également changé la manière de travailler de nombreuses entreprises.

Le journaliste médical, le représentant médical et la médecine sont des métiers complètement différents. Ils exigent chacun des aptitudes commerciales, rédactionnelles, pédagogiques et techniques différentes en dehors du socle commun. La question qu’il faut se poser est alors quel métier vous souhaitez exercer et non dans quelle entreprise vous souhaitez travailler. De plus, il existe des métiers qui sont très convoités et d’autres qui demandent une technicité importante.

D’autres points qui vous permettent de choisir un métier

Pour choisir un métier, tenez compte des conseils proposés pendant l’orientation professionnelle. Celle-ci se base sur votre parcours scolaire.
Vous pouvez également trouver un métier sur vocasciences pour mieux comprendre ce qu’il en est. Vous pourrez ainsi savoir s’il vous convient ou non.
Sachez que des échanges sont organisés dans les collèges ou lors du stage de découverte de la vie professionnelle en 3ème. Ils vous permettent de savoir quel métier vous intéresse le plus et quelles études vous devriez suivre pour l’exercer. Certes, après l’obtention des diplômes des études supérieures, il est plus facile de choisir le métier à exercer. Mais au fil des ans, vous pourrez avoir l’envie de changer de métier.
Les emplois saisonniers sont aussi un tremplin pour avoir une idée de l’emploi que l’on souhaiterait exercer plus tard.

L’apprentissage croisé

Ce système d’apprentissage consiste à apprendre dans des lieux en dehors d’une salle de classe comme les musées et les clubs parascolaires. L’apprentissage croisé permet aux enseignants de mettre en relation le contenu scolaire aux questions de la vie de chaque jour. Ainsi, l’apprentissage en salle peut être complété par des expériences de la vie quotidienne. Vous pouvez rendre cette méthode encore plus efficace en posant une question anticipée en classe. Après, laissez aux élèves le soin d’explorer la question lors d’une excursion ou d’une visite d’un musée.

L’apprentissage par argumentation

Cette méthode d’apprentissage permet aux élèves de développer des compétences du raisonnement scientifique. En d’autres termes, cela leur apprend à raisonner de manière logique. L’avantage de l’apprentissage par argumentation est le fait d’améliorer la compréhension des sciences et des mathématiques. À cela, les élèves peuvent mieux faire face aux idées contrastées en énonçant des concepts ancrés sur la vérité.

L’apprentissage par fortuit ou aléatoire

Il s’agit d’un système d’apprentissage que l’on peut catégoriser de non planifié et involontaire. Ce type d’apprentissage peut se passer à tout moment et en tout lieu (au travail, au jardin, à l’école…). Ce qui différencie l’apprentissage par fortuit des autres méthodes est qu’il est non planifié. Il se déroule plus généralement durant les activités quotidiennes.

L’apprentissage intégré

L’apprentissage intégré fait référence à un processus durant lequel l’élève acquiert une nouvelle connaissance ²et restructure ses acquis par rapport à une nouvelle situation concrète. C’est pourquoi ce processus est dit non linéaire et en perpétuel mouvement. Dans ce processus, il est question d’un mouvement dans l’intégration et de la restructuration de l’univers intérieur de l’élève.

Comment faire pour devenir sommelier ?

Il faut de solides études pour devenir sommelier. Mais de nombreuses formations sont accessibles à partir du bac. Ceux qui détiennent le niveau bac peuvent doivent obtenir le BP ou brevet professionnel sommelier après un CAP. Ce diplôme permet de devenir en premier lieu assistant de sommelier. La MC ou mention complémentaire sommellerie est aussi possible après le bac ou un CAP. Ce diplôme, par contre, permet d’accéder au poste de sommelier en titre. Les diplômes suivants sont obligatoires : CAP restaurant, bac techno STHR pour sciences et technologies de l’hôtellerie et de la restauration, et bac pro commercialisation et services en restauration. D’un autre côté, pour ceux qui ont un niveau bac+2, un BTS management en hôtellerie-restauration option management d’une unité de restauration. Et il faut se rappeler que le métier de sommelier exige, la plupart du temps, la maîtrise de l’anglais ou d’une autre langue étrangère supplémentaire. Le fait est que, souvent, dans les grands hôtels comme dans les restaurants étoilés, beaucoup de clients sont des étrangers, d’où la nécessité de parler prioritairement l’anglais.

Vers quelle évolution ?

Un sommelier peut-il espérer évoluer dans sa carrière ? La réponse est oui, pas systématiquement et pas toujours mais c’est possible. En fait, il faut avoir une très grande expérience et des résultats très positifs pour évoluer. Un sommelier peut donc, dans certains cas, travailler pour un cru classé ou encore dans une grande surface en tant que représentant commercial. C’est assez rare mais cela peut arriver. Mais l’évolution de carrière peut s’opérer au sein même de l’établissement où il travaille. Ce qui veut dire que d’assistant sommelier, il peut passer sommelier, puis chef sommelier. Tout dépend du contexte et de l’envergure de l’établissement en question. Mais une autre opportunité qui se présente parfois à un sommelier, c’est de travailler à l’étranger. Soit parce que le sommelier aura déposé son dossier auprès d’un restaurant ou d’un hôtel de prestige à l’étranger, soit un de ces établissements l’aura remarqué et débauché. En tout cas, un débutant dans le métier touche le SMIC et une fois confirmé, il peut gagner jusqu’à 3 000 euros brut, et en plus, toucher des primes et des pourboires, selon l’établissement où il travaille. En fait, tout dépend de la renommée et de l’envergure de l’établissement. Il faut savoir que détenir le titre de meilleur sommelier du monde ouvre bien des portes et permet de gagner un salaire encore plus important. C’est donc un concours à envisager pour ceux que cela intéresse.

Un métier qui met au contact des gens

Le sommelier en général est en contact avec les clients. Bien sûr, la plupart du temps, il officie dans les caves et se charge de la gestion de celles-ci. De plus, il s’occupe de la réception des commandes de vins, il vérifie chacune des livraisons. Le décapsulage relève également de ses fonctions, de même que le rangement, le stockage et la surveillance des vins. Bien des fois, même l’achat des vins lui échoit, parce qu’il est censé choisir les meilleurs vins. Dans ce cas, il est amené à se déplacer, jusque dans les vignobles, que ce soit en France ou même parfois à l’étranger. Mais à la salle de restaurant, c’est lui qui présente la carte des vins aux clients, les conseille en fonction des repas commandés par ceux-ci. Avant de servir le vin, il s’assure que celui-ci est à la bonne température, il l’ouvre devant les clients et les sert.

Son rôle avant et pendant le vol

Le travail d’une hôtesse de l’air se situe principalement à l’intérieur d’un avion. Mais son rôle commence avant même que les passagers embarquent. En effet, à l’aide du ou des stewards, elle vérifie que tous les appareils à bord fonctionnent correctement, elle contrôle si tout ce dont les passagers ont besoin durant le vol est bel et bien là, propre, dans un excellent état, etc. Ce peut être l’état des toboggans de l’avion, mais aussi les emplacements des gilets et le chemin lumineux, etc. Maintenant, après l’accueil des passagers, elle endosse un autre rôle, celui de s’occuper de chacun d’entre eux en général et de ceux qui ont des besoins spécifiques. En premier lieu, en compagnie d’une autre hôtesse ou seule, elle s’adresse aux passagers pour leur rappeler (à ceux qui ont déjà pris l’avion mais surtout pour ceux qui montent à bord pour la première fois) les consignes de sécurité. Elle leur montre les équipements de sauvetage à bord et la manière de s’en servir au cas où. Cette partie terminée, elle parcourt les rangées pour demander à chacun s’il est bien installé, s’il a besoin de quelque chose, etc. Elle répond avec gentillesse, patience et le sourire aux demandes, aux questions des passagers. En cas de fortes turbulences, elle rassure ceux qui paniquent et s’il y a un malade à bord, elle s’en occupe.

Les études à faire pour accéder à ce poste

Pour devenir hôtesse de l’air, il faut savoir que les critères d’embauche des compagnies aériennes diffèrent l’une de l’autre. Si on vise telle compagnie, il est préférable de se renseigner directement près d’elle pour connaître les conditions d’admission. Mais il y a tout de même des conditions basiques communes à toutes les compagnies. Par exemple, il faut être ressortissante de l’Union Européenne et être âgée de plus de 18 ans. Il faut avoir le bac, mais souvent un bac+2. Il est également impératif de parler un anglais courant, à compléter avec une autre langue étrangère si possible. Celle qui postule pour devenir hôtesse de l’air doit aussi savoir nager correctement. Et enfin, il faut être titulaire du CCA, pour Cabine crew attestation, un certificat reconnu par toutes les compagnies aériennes de la zone européenne mais aussi sur le plan international. Une jeune femme qui possède une solide expérience commerciale a un plus qui l’aidera certainement à être repérée.

A savoir sur les formations

Il est utile de savoir que chaque compagnie aérienne organise des journées de sélection durant laquelle un lot de nouveaux stagiaires est constitué. Puis, une formation propre à la compagnie est donnée à ces nouveaux. Si une jeune femme est admise, elle doit d’abord faire valider une attestation d’aptitude médicale délivrée par le CEMPN, puis passer le CCA. C’est en remplissant ces deux conditions qu’elle pourra travailler soit dans une compagnie française soit dans une autre compagnie européenne. Pour en revenir au CCA, il s’agit d’une formation assurée par des organismes de formation qui ont reçu l’agrément de la DGAC. Etant donné qu’il est question d’examen d’État, il est impossible de passer les épreuves en tant que candidat libre. Il y a une autre formation possible mais non obligatoire, c’est le CQP PNC, autrement dit le certificat de qualification professionnelle personnel navigant commercial. Toutefois, c’est un certificat qui permet d’obtenir des compétences utiles et concernant la sûreté.

Être un coiffeur

Un coiffeur ou une coiffeuse doit être à l’écoute du client afin de lui offrir un service satisfaisant et ainsi, le fidéliser. Sur le plan technique, un coiffeur doit tenir compte de la qualité du cuir chevelu de ses clients afin d’apporter le soin adapté. Il utilisera tel ou tel produit en fonction des spécificités de la chevelure du client tout en tenant compte de la longueur, la couleur et la qualité du cheveu. Selon la demande du client, il procédera ensuite à la coupe ou au lissage. Il doit également savoir conseiller son client sur le type de produit à utiliser pour avoir une meilleure qualité de cheveux. Il doit avoir une bonne condition physique parce qu’il doit rester debout la plupart du temps. Mais où apprendre à devenir un coiffeur professionnel?

Les écoles de coiffure

De nombreuses écoles de coiffure sont prêtes à vous accueillir pour une formation en coiffure. Vous avez l’Académie Franck Rausch, l’Académie de la Beauté, l’Institut de Formation et de Perfectionnement, l’école Concept Formation, ou encore l’Académie de Coiffure Arnaud Gaigneux. Vous y apprendrez les règles de bases dans le domaine de la coiffure, vous apprendrez à manipuler les postiches, à faire des coupes sur cheveux courts, mi-longs ou longs et bien sûr à adopter une attitude professionnelle envers les clients.

Les acquis après une étude d’ingénierie IT et digital

Durant ses études en ingénierie IT et digital, l’étudiant développe ses capacités afin de concevoir, créer, fabriquer, mais aussi, développer et maintenir des matériels informatiques et/ou des solutions logicielles. Au-delà de ces aptitudes purement techniques, l’étudiant en ingénierie IT et digital doit connaître les techniques de management d’équipe et de projet en tout genre. À la fin de son cursus formatif, il peut être amené à intégrer directement un poste à responsabilité. Il est de ce fait important qu’il sache prendre des décisions. Il doit aussi savoir gérer une équipe, mais également les représenter au sein de ses supérieurs hiérarchiques ou au niveau des partenaires de son entreprise. Il peut également représenter le service IT et digital au niveau des clients, des partenaires, etc.

Les débouchés

Après votre cursus formatif, vous pouvez vous rapprocher d’un cabinet de recrutement pour trouver un poste dans le secteur de l’IT et du digital. Vous pouvez notamment laisser votre CV auprès de cette société, un cabinet de recrutement et conseil RH spécialisé dans les secteurs de l’ingénierie et l’IT / digital. En tout cas, si vous vous spécialisez dans l’ingénierie en informatique de gestion, vous pouvez envisager d’intégrer une société pour assurer le développement de solutions informatiques et digitales permettant de gérer et traiter les données d’une entreprise. Si vous vous spécialisez dans le secteur des systèmes et réseaux, en tant qu’ingénieur système et réseaux, vous vous chargerez de l’analyse, de la création, de la maintenance et de l’entretien des systèmes et réseaux d’une entreprise. Mais vous pouvez aussi intégrer le métier d’ingénieur en informatique industrielle si vous appréciez plutôt le domaine de la robotique. Il y a aussi les postes d’ingénieur logiciel, d’ingénieur en développement web et mobile, ingénieur en big data, ingénieur en cloud computing, etc. que vous pouvez viser après vos études en ingénierie IT et digital.

Le coloriste textile

La production textile commence par le filage et le tissage du tissu. Une fois ces étapes passées, on passe à la teinture. À ce stade, on a recours à un coloriste. Sachant qu’il existe différentes manières de teindre un tissu, le coloriste doit maîtriser plusieurs techniques, dont les formules de composition d’une teinte donnée, les modes opératoires à suivre, etc. Si ce métier vous intéresse, vous devez suivre une formation filière textile pour obtenir une Licence Pro Coloriste Infographiste ou bien un BTS Productique textile Option D.

Le modéliste et le régleur de machine de production

Avant d’arriver sur les rayons, le tissu qui a été teinté va subir des changements apportés par le modéliste. Pour devenir modéliste textile ou modéliste industriel, il faut un BTS métiers de la mode-vêtement. Le modéliste a pour rôle d’élaborer un patronage à partir de la planche de dessin qu’il a créé pour un vêtement donné. Par la suite, il passera le modèle établi au régleur de machine de production. Celui-ci se chargera d’établir un prototype du modèle. Ce prototype subira encore des rectifications par le modéliste avant d’être accepté.

Le coupeur textile

Une fois que le modéliste obtient le prototype final, c’est au tour du coupeur d’intervenir. Il doit être précis et méticuleux dans son métier. Le coupeur textile doit, en effet, couper des pièces de vêtement et souvent en série. Il doit être en mesure de choisir l’outil qui convient au coupage du tissu ou de la pièce de vêtement. Il doit aussi savoir travailler selon les mesures de sécurité requises.